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Les réfugiés oniriques
Imagerie de Lannion
2008

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Les Réfugiés oniriques de Coralie Salaün n'ont pas la maturité d'une Delphine Balley, mais ses images témoignent d'une recherche similaire autour de l'événement photographique. On retrouve chez cette rennaise de 22 ans le goût de la mise en scène, au service de situations improbables, comme ces clowns qui semblent attendre que des poissons suspendus à une corde à linge aient fini de sécher... Un cadre dans le cadre vient invariablement signaler la supercherie : il y a dans ces vues un charme potache à la Méliès.Extrait de «Photo : les jeunes talents des Estivales off – Lannion », Caroline HEURTAULT  Ouest- France, samedi 12 juillet 2008.

«Surréaliste ou poétique, tel est l’univers de Coralie Salaün. Cette jeune photographe est mise à l’honneur par l’Imagerie dans le cadre des « Estivales photographiques Off » à Lannion. La photographie se découvre aussi dans les cafés. Cette année, l’Imagerie a décidé d’exposer de jeunes artistes dans des lieux inhabituels, mais vivants. C’est ce qu’elle appelle ses « Estivales photographiques Off ». [...] Cette jeune femme de 20 ans n’aime pas vraiment les cadres conventionnels. Elle aime mêler dans ses travaux à la fois la photographie, la lecture, l’écriture et les arts plastiques. Elle ne se satisfait pas du monde réel et fabrique ses propres images tantôt surréalistes tantôt poétiques. Sur de grandes toiles, elle s’est amusée à mettre en scène sa tribu familiale le long de la rivière du Léguer. C’est à travers un cadre de tableau que l’on découvre ce peuple imaginaire et surréaliste. Cette série intitulée « Les réfugiés oniriques » ne manque pas d’amuser ou d’intriguer le spectateur par sa savante et originale mise en abyme.» Extrait de « Estivales Off. Coralie a le sens de la mise en scène », Le Télégramme, lundi 21 juillet 2008, p.15

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